Mulove, ne deviens pas nuage solitaire…rejoins la vérité rouge, en furie sur mes lèvres…

Mulove a une bouche de nuages ou mes yeux brillent de poésie…

Dans l’aboiement qui s’éteint dans le frais matin…tes gémissements de chienne brûlent encore mes tempes…

Mulove est la main et le cœur qui me sauveront de la grisaille…Je ne dois pas l’oublier…

Beautiful…Foule de mon âme…

Me perdre en vous…

Mulove est un fleuve au corps de femme…le courant de ma vie coule en lui…

Scintille moi de tes feuilles soleil, un nouveau monde pour de nouvelles révolutions…

Mulove est un champ de bleus…Sous la courbe des orages…Un message accroché au coeur…

Mulove est un chant d’amour…Sur l’odeur de Terre…Ne poussent que des fleurs jaunes pour nos yeux égarés…

Alors je rêve que tu rêves que je rêve de toi…

J’aime la tranche des femmes…Elle laisse place à l’arrondi véritable…

J’ai trouvé mes yeux sur une porte close…Elle avait perdu la clé du regard bleu

Il est temps de tourner la langue, de la poser sur le papier…Qu’elle devienne piquante !!!

Lors de la prochaine pluie, je marcherai sur les mains pour repousser vers le ciel…

J’ai transpercé à l’ âme blanche un cœur de fleur…Un crime de poète…

Sur les fleurs parachutes
souffle petit garçon
et sauve l’âme de nos feuillages…

Sous les arbres jaunes, Bleuem est un manque…

Survivre a nouveau aux dernières feuilles, alors je les piétine et je les aime aussi…

Sous l’arbre au cœur rouge s’allongent nos bleus souvenirs…

Le toucher de tes lèvres…l’Invite des anges…une plume au cœur…

Le temps des hommes ratatine les arbres des villes…Cet automne, les feuilles n’auront aucune chance…

Ce matin, vous étiez bleue comme une orange…

Peu importe la brume,
dans l’invisible même
au sommet d’un bleu
je te retrouverai…

Si le feu est au bleu
nous passerons les millénaires
à nous aimer à nouveau…

Cette première pluie
où l’arc en ciel se couche
sur notre première nuit

Il est de ces jours perpétuels,
Ta somptueuse bouche
une neige éternelle
devenue essentielle…

La beauté des fleurs, demeure invisible, sans ta présence…

Mon ivresse…

Je n’ai pas oublié,
le gout de ta sueur…

Une eau de vie,
extrême et subtile…

Je jetterai mes dernières forces dans l’amour…

Tu es l’image de l’eau de pluie,
fluide sur la caravane bleue,
jusqu’au port de l’Amour…

L’éclair ruisselle sur mon front. Les fleurs poussent à l’envers. Je crois être pourtant l’ambigu message, libéré par mes chaînes bleues…

Creuser le ciel de mes paumes jumelles…Le soir de la Terre noire portera le parfum Poésie…

L’équation amoureuse :
41 = 38 + …