Au phare du néant,
j’ai croisé une étoile
aux cheveux de pluie
les espoirs dénudées.
J’ai suivi sur ses yeux
un chemin
pour revoir demain,
le vieil homme sourire
face à l’évidence
d’un temps
où l’universalité sensuelle
d’êtres ensembles
est un présent continu.
Depuis, nous gravons le concret
chaque instant de nos bouches
essoufflées au verre bleu.