Ne suis je qu’un refuge lors de la tempête, puis le phare rassurant au lointain ?
Je ne peux n’être que cela. Que ces choses, que tu trouverais dans les ailleurs, muse.
Alors, je pourrais être la voix du vent, même le plus froid sur ta peau, et la pluie sur tes joues, même si tu t’en protèges.
Et surtout, je pourrais être l’unique souffle d’un cœur bleui par ton ombre, loin de ce phare blême, au plus proche de ton âme.
Si tu me devenais…
J’entends une voix te répondre : « Sois… et sois encore… »